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Reprenons la théorie de l'éponge. Je pense très souvent en dialogue, entretenu avec une personne bien déterminée de mon entourage ou de mes lectures (by stretching things a bit[1]). Mon expérience la plus traumatisante... lire la suite

Notre fascination commune pour les antiques Égyptiens s'explique très simplement, je m'en suis aperçu pas plus tard qu'il y a dix minutes, par le fait que leurs traces les plus évidentes et les plus connues, les... lire la suite

J'aime la fin du quattrocento italien, ce qui doit probablement être puéril. Les belles découpes sages et avenantes, les cheveux fantastiques de Botticelli, le langage symbolique (mais simple), la douceur de Raphaël (qui... lire la suite

Dans un train pour Strasbourg, en première classe, sensation très désagréable. Déjà, le siège trop incliné convient pour la lecture, certainement pas pour écrire. Surtout, la présence des autres voyageurs, tous réunis... lire la suite

Écrire des colonnes, ça aide à soutenir Le Monde ?... lire la suite

Poursuivons. Un des grands problèmes[1] de ma plume, de mon existence aussi bien, est sa trop grande perméabilité (ou comment dirais-je, son caméléonisme ?). J'écris toujours sous influence de mes lectures. Je vis sous... lire la suite

Croisées d'ogives et plein cintre, voûte d'arêtes ou vela, culée et contreforts, réhaussés du pinâcle, et les petits voussoirs qui forment tout cela ; la façade harmonique, annonçant collatéraux par deux tours haut... lire la suite

Par exemple : cet homme, au comptoir du D., dégarni du front et de l'arrière-garde, le cheveu malingre et rare, arborant catogan. Il serait il me semble inutile de décrire l'aspect précis de cet appendice, le reste de la... lire la suite

Vous l'avez compris (c'est fou ce que vous comprenez vite), nous sommes en train d'établir une version fruste d'analyse du réel. Nous avons des données, que nous obtenons par la mesure. Nous pouvons les analyser, et... lire la suite

Dernière journée de travail, avant des vacances dont je ne sais si elles sont méritées. De plus en plus, la sombre inutilité de mon rôle ou plutôt, le quart, le cinquième d'activité qu'il requiert (et donc les trois... lire la suite

Muriel : tu n'as rien à faire en ces pages où même les robots Google ne s'aventurent pas. Ou alors, fais-toi toute petite.... lire la suite

Le complexe du chevalier blanc atteint de nos jours plus ou moins tout le monde, puisque, de nos jours, plus ou moins tout le monde est de gauche, surtout les gens de droite. Il consiste en l’envie irrépressible de... lire la suite

Il est paradoxal que j'aie envie d'écrire, puisque, à la vérité, je n'écris jamais. La fréquence d'édition de ce blog le prouve suffisamment. Pourtant, tous mes projets d'avenir, mes heures de gloire future, mes châteaux... lire la suite