Interrogé par un lecteur du Parisien sur le coût de sa mesure en faveur des crèches, M. Mélenchon répondait le 10 mars : “Cela coûte des sous, oui, mais à la fin cela rapporte du bonheur.”[1]

C’est l’argument dont se servent aussi les patrons dans l’industrie culturelle : c’est très mal payé, mais pensez à la chance que vous avez de travailler dans ce milieu !

Je vais de ce pas persuader ma banquière de me laisser rembourser mon prêt pas avec le sourire.

Note

[1] Pour les incrédules, que je comprends tout à fait, c’est ici, et probablement ailleurs aussi, dans Le Parisien par exemple.