Gazouillis
le vendredi 9 mars 2012, 11:25 :: Apophtegme :: Lien permanent
À chaque fois qu’un homme politique ouvre la bouche qui est la sienne, les adjectifs possessifs qui sont les nôtres souffrent un peu plus.
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À chaque fois qu’un homme politique ouvre la bouche qui est la sienne, les adjectifs possessifs qui sont les nôtres souffrent un peu plus.
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