Le premier devoir de l’homme est de constater qu’il est un nain de culture. Que le monde est bien trop vaste, bien trop écrit déjà. Qu’il sera toujours et de plus en plus écrasé par la pensée des hommes qui l’ont précédé et qui lui succèderont, car même de penser qu’on ajoute quelque chose à la culture est un péché contre la culture.